Paris - Bruxelles

20 February - 30 March 2016

Paris – Bruxelles

 

Lieux d’exposition : galerie Natalie Seroussi, Paris et dépendance, Bruxelles

 

Les galeries Natalie Seroussi et dépendance s’associent pour l’exposition Paris – Bruxelles, un dialogue entre leurs artistes du XXè siècle jusqu’à nos jours.

 

L’exposition s’articule autours du travail singulier de l’artiste Gil Joseph Wolman (1929 – 1995), présenté pour la première fois à la galerie dépendance. Artiste inclassable et  évoluant en parallèle du mouvement lettriste, Wolman est à la fois poète, plasticien, cinéaste et écrivain. La diversité de son œuvre en fait un artiste majeur de la deuxième moitié du XXè siècle.

 

La conversation entre l’œuvre de Wolman et celle des artistes de la galerie dépendance met en valeur leur volonté permanente de développer un langage visuel en réponse à leur époque. L’exposition développe les thèmes, les idées, les croyances et les passions qui ont inspirés ces artistes pour se jouer des conventions établies, engageant directement le contexte politique et social.

 

Artistes exposés à la galerie Natalie Seroussi : Karl Holmqvist, Michael Krebber, Henrik Olesen, Oscar Tuazon, Peter Waechtler, Franz West, Gil Joseph Wolman.

 

Artistes exposés à la galerie dépendance : Richard Aldrich, Thomas Bayrle, Merlin Carpenter, Thilo Heinzmann, Oscar Tuazon, Gil Joseph Wolman.

 

 

 

Henrik Olesen

Définition de l’espace comme vide ou comme espace non productif en opposition au trop plein d’informations actuel.

Rapport avec la poésie concète

 

Michael Krebber

Approche conceptuelle de la peinture en questionnany les racines de ce medium. Exploration des frontières de la surface du tableau et tension entre représentation et abstraction

« comme la figure et le fond, la forme et le format, la surface et l’espace, la couleur et l’objet, le cadre et le mur, l’objet et l’installation, la lumière et le lieu, le matériel et la référence, le titre et le contexte, l’original et l’objet trouvé pet être rélié à un autre élément » Michael Krebber, à propos de son exposition au CPAC de Bordeaux