Namur en 1935, Zwijnaerde en 1972. Axell voyait le monde à travers des lunettes aux verres bleus. Une femme nue dans ses tableaux peut être immédiatement identifiée. Si elle tient en main ou porte sur son nez les fameuses lunettes, c’est elle. Jusque dans ce paradis écologique qu’elle imagina peuplé d’un seul Tarzan, pourvu bien sûr de l’accessoire désiré (cf Le retour de Tarzan accroché actuellement à l’exposition « elles @ centre pompidou ») . Mais c’est dans la Galerie Seroussi que se trouve la fin de l’histoire : Tarzan ridicule et myope s’époumone vainement à appeler une Jane-Axell aux lunettes bleues, à tout jamais seule sur la plage …
Et moi, et moi et moi... par Evelyne Axell
Past exhibition